Hitler tout seul, rien. Jacques Prévert

Festival organique avec la pluie qui nous a lavé.es, festival dédié aux femmes, un sujet si vaste qu’on pourrait en faire une spécialité. Tant de choses à dire, à écrire, à dessiner, à chanter et jouer, d’espaces à ouvrir, de croyances et clichés à balancer. Nous n’avancerons que si nous nous penchons avec cœur au cœur de nos propres contradictions, nos paradoxes. Lâcher ce qui détruit au profit de la vie, on dirait bien que l’urgence est là, uniquement là, URGENCE CLIMATIQUE c’est tout. S’ouvrir enfin à une vision écologique de la situation dramatique dans laquelle nous sommes…
Sortir du déni et de l’enfermement dans lequel on nous espère bien englué.es.
TOUT METTRE À PLAT et se retrousser les manches, mettre nos mains dans notre tête et œuvrer ensemble. Ne rien attendre des décideurs et de leurs serviteurs ni d’un hypothétique sauveur.
Continuer de penser, créer, lire, s’émerveiller, se rencontrer, cultiver la joie, se cultiver… prendre de la hauteur et refuser d’alimenter le vieux schéma du diviser pour mieux régner. Quand tu tapes sur ton voisin, les dirigeants dansent et toi tu trinques !
La liberté n’a pas de prix.
Rester libre et vivant.e.
Pensées émues pour les femmes d’Afghanistan.

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